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La voix off féminine

La voix off féminine est l’une des parties les plus importantes de toute publicité. Il définit le ton et la personnalité d’une marque. La voix off féminine est généralement utilisée à des fins de marketing ou pour attirer l’attention de clients potentiels. Il peut également être utilisé pour des témoignages, des vidéos explicatives et plus encore. Chaque publicité a besoin d’une voix off féminine, mais qu’est-ce qui la motive ?

La voix off féminine est généralement enregistrée séparément de la voix off masculine. Cela permet aux deux voix d’être distinctes l’une de l’autre sans introduire trop de complications. Il est également possible d’avoir une voix off masculine avec une conception sonore féminine. Cependant, cette approche peut rendre difficile la distinction entre les deux voix. Par conséquent, des sessions d’enregistrement séparées sont généralement nécessaires pour les voix off masculines et féminines. De plus, la plupart des voix féminines sont plus hautes que les voix masculines afin de ne pas entrer en conflit avec les voix principales masculines dans les chansons et les publicités. Enfin, la plupart des voix féminines sont livrées avec un ton plus doux afin qu’elles ne semblent pas abrasives ou agressives pour les auditeurs.

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La voix off femme dans les documentaires

La voix féminine est généralement enregistrée séparément de la voix masculine. Cela permet aux deux voix d’être distinctes l’une de l’autre sans introduire trop de complications. Il est également possible d’avoir une voix masculine avec une conception sonore féminine. Cependant, cette approche peut rendre difficile la distinction entre les deux voix. Par conséquent, des sessions d’enregistrement séparées sont généralement nécessaires pour les voix masculines et féminines . De plus, la plupart des voix féminines sont livrées avec un ton plus doux afin qu’elles ne semblent pas abrasives ou agressives pour les auditeurs.

Chaque publicité a besoin d’un message engageant délivré par quelqu’un qui semble naturel et crédible pour les auditeurs ; c’est là que la voix off féminine entre en jeu. Bien qu’il existe des directives normalisées sur la manière dont les femmes doivent transmettre leurs messages dans les publicités, chaque individu a son propre style lorsqu’il s’exprime dans des publicités ou des émissions de télévision. En fin de compte, c’est à celui qui embauche l’actrice de définir ce que signifie « naturel » lors de l’enregistrement de ses répliques en tant que femme parlant trop dans les publicités.

La voix off

En comparant la gamme de personnages du film à celle de l’imprimé, l’auteur Margaret Atwood a déclaré: «Le cinéma est essentiellement une chose masculine. Les femmes sont reléguées au rôle d’intérêts amoureux ou de méchantes. Malgré l’affirmation d’Atwood, les médias populaires changent et présentent davantage de personnages féminins sous un meilleur jour. Compte tenu de l’état actuel de la représentation féminine dans les médias et de son impact sur les lecteurs et les téléspectateurs, l’accent mis sur la qualité des personnages féminins devrait être accru. Lorsque les personnages féminins sont mal représentés, les médias ont tendance à être de moindre qualité. Cela limite le potentiel des pistes féminines lorsqu’elles limitent le potentiel d’un récit en limitant le développement et l’agence dans leurs histoires. Lorsque les personnages féminins sont bien représentés, les médias ont tendance à être de meilleure qualité car ils présentent des femmes fortes qui peuvent se défendre face à l’adversité.

Les auditeurs

Bien que de nombreux lecteurs soient d’accord avec Atwood sur le fait que le cinéma a tendance à limiter les rôles des femmes par rapport à l’imprimé, il existe encore de nombreux rôles féminins forts qui pourraient encore améliorer la représentation. Par exemple, la princesse Leia (jouée par Carrie Fisher) était radicalement indépendante et un chef de file à la fois de l’Alliance rebelle et de la Résistance. Elle a également résisté à son mari alors qu’il la torturait avec des questions sur son rôle dans son réseau d’espionnage. En revanche, la méchante Hela (Cate Blanchett) de Marvel est une guerrière agressive dont les cohortes masculines s’en remettent à elle jusqu’à ce qu’elle perde le contrôle d’elle-même et les tue, un aspect qui limite son potentiel en tant que femme forte. Cependant, il y a eu des améliorations notables dans la façon dont les femmes sont représentées à travers le film, ce qui peut améliorer la compréhension du lecteur par rapport aux déclarations d’Atwood sur le film par rapport à l’imprimé.

Un métier

Lorsque les lecteurs pensent à quel point certaines femmes sont mal représentées dans les médias, il peut avoir un impact négatif sur leur plaisir des histoires en fonction de la façon dont ils se rapportent aux protagonistes ou voient les femmes en général à un si jeune âge. Dans The Handmaid’s Tale de Margaret Atwood, la société s’est transformée en une dictature fasciste où les femmes ne sont devenues que des esclaves et des vaisseaux reproducteurs pour les classes dirigeantes masculines. Dans cet exemple d’étude de cas de mauvaise représentation féminine, Offred (Elisabeth Moss) est une concubine désignée par des dirigeants masculins qui tombe enceinte du prodige de l’enfant de sang d’une autre femme après qu’elle s’est commise un infanticide en raison de douleurs abdominales extrêmes provoquées par la sensation de faim pendant la grossesse. avec l’enfant de l’enfant de sang d’Offred rejetant également la nourriture de Moss puisqu’elle n’était pas l’enfant de sang de sa mère mais celle d’Offred sur la base de ce qu’elle considérait comme son rôle de servante fertile de Galaad pour Dieu). Les lecteurs peuvent avoir du mal à s’identifier à ce personnage pendant une période aussi chargée d’émotion étant donné l’âge de Moss lorsqu’elle jouait ce personnage principal (elle avait 40 ans pour Moss lorsqu’elle jouait ce rôle, bien qu’elle ait 15 ans de plus que Nick Offerman qui jouait Fred Waterford ). Cependant, Moss ne s’est pas limitée à jouer ce rôle puisqu’elle avait déjà joué des rôles similaires par le biais du Grand Central Theatre – qui a été décrit comme « du théâtre pour les gens qui ne veulent pas de divertissement pour les gens qui ne veulent pas d’éducation pour les gens qui n’en ont pas ». « Je ne veux pas de politique ou de religion pour les gens qui ne veulent pas de sexe mais qui veulent de l’amour. » Grâce à la performance de Moss au Grand Central Theatre – qui comprenait des rôles comme tante Lydia dans The Handmaid’s Tale – Moss a appris comment interpréter au mieux ces parties difficiles afin qu’elle puisse apporter la vérité et l’intégrité émotionnelle à ce qu’elle décrivait plutôt que d’agir aveuglément. comme Offred le fait au sein de Gilead étant donné les règles sociétales rigides qui lui sont imposées par les hommes et les femmes au sein de Gilead, auxquels elle doit obéir ou faire face à la punition elle-même ou à la mort aux mains d’autres femmes que Gilead enverra après celles qu’Offred a trahies avec connaissance de où des membres clés de la société planifient des actes pervers contre eux sachant que ces mêmes hommes protégeront leurs femmes de la punition puisque l’obéissance assure la fertilité des générations futures menant à la cérémonie de fertilité de deuxième génération de The Handmaid’s Tale

Une passion

Lorsqu’elles écrivent ou s’expriment pour les médias, les opinions des femmes sont souvent contestées et rejetées. Les opinions des femmes sont considérées comme plus faibles que celles des hommes, et elles manquent souvent de crédibilité. Cependant, les voix des femmes sont de plus en plus reconnues ces dernières années. Les femmes écrivains sont de plus en plus présentes dans les journaux et les émissions de télévision, et les opinions des femmes sont considérées comme aussi crédibles que celles des hommes dans certains pays.

Au début des années 1900, peu de femmes étaient autorisées à rejoindre la presse ou à enseigner dans les écoles publiques. Cela était dû à la croyance que seuls les hommes pouvaient enseigner la bonne morale à leurs élèves. Les femmes qui voulaient écrire pour les médias devaient le faire sous un pseudonyme ou un déguisement masculin. En 1919, Ernest Hemingway a publié « Les hommes ne sont pas assez bons pour se lamenter sur les femmes comme les femmes se lamentent sur les hommes » – une opinion qui remettait en cause le rôle traditionnel d’une femme à cette époque. En rejetant ce point de vue, Hemingway a démontré son respect pour la voix des femmes et son acceptation de leurs expériences émotionnelles, quels que soient ses sentiments personnels à leur égard.

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